- Les peuples du littoral (de la Lusitanie) ont pour coutume de combattre à cheval les taureaux qui, en Hispanie, sont pleins de fureur (Strabon- 58 av. JC).
- En prenant les uns et les autres tels qu’on peut les trouver en leur naturelle perfection, je mets le vray cheval d’Espagne au premier rang, luy donnant ma voix comme au plus beau, plus noble, plus gracieux, plus brave et enfin digne d’un Roy (Salomon de la Broue 1593)
- Je vous assure que s’il est bien choisi, c’est le plus noble cheval du monde… c’est le cheval le plus beau et le plus propre pour un Roy en un jour de triomphe pour se faire voir à son peuple ou être à la tête de son armée (Duc De Newcastle 1657).
- Pour les habituer on les amènera à la tombée de la nuit dans des lieux brillants et fort éclairés, les chevaux traverseront le feu de face… quelques fusées seront lancées sur les cotés et devant… on prendra deux armes à feu et on tirera sur les côtés et devant (Antonio galvao de Andrade 1678).
- Tous les auteurs ont donné la préférence au cheval d’Espagne et l’ont regardé comme le premier pour le manège, à cause de son agilité, de ses ressorts et de la cadence naturelle pour la pompe et la parade, à cause de sa fierté, de sa grâce et de sa noblesse (La Guérinière 1731).
- Expression du rêve de celui ou celle qui souhaite posséder un cheval exceptionnel, idéal d’équilibre et de générosité, merveille d’impétuosité et de calme, il est depuis 2000 ans le phantasme des cavaliers d’occident (Michel Henriquet)
