Son histoire

Sa présence est reconnue à l’époque néolithique. Homère le cite dans l’Illiade ; ainsi que Xénophon dans les Helléniques.

Les Maures considéraient la cavalerie ibérique comme supérieure à la leur.

Introduit par les Espagnols en Italie au XVème siècle, il a vaincu la lourde cavalerie Française.

Le berceau de la race

Cheval du sud de la péninsule ibérique, son nom vient de son lieu d’origine, Andalou, Estremenho quand il est originaire d’Espagne, Lusitano quand il est originaire du Portugal ( la Lusitanie romaine ). C’est le plus ancien cheval de selle connu par la civilisation occidentale et un des plus importants pour l’histoire équestre. Son berceau se site au sud du Tage, dans les régions du Ribatejo, de l’Alentejo et de l’Estrémadure.

L’histoire

Sa présence est reconnue à l’époque néolithique. Homère le cite dans l’Iliade ; ainsi que Xénophon dans les Helléniques. Les Maures considéraient la cavalerie ibérique comme supérieure à la leur. Introduit par les Espagnols en Italie au XVème siècle, il a vaincu la lourde cavalerie Française.

La célébrité

Les grands écuyers et auteurs du XVIème, XVIIème et XVIIIème siècle (Grisone, Caracciolo, Pignatelli, La Broue, La Noue, Pluvinel, La Guérinière, Saunier, Newcastle, Riedinger, Eisenberg, Sind) qui ont écrit les traités fondamentaux d’équitation et d’art équestre décrivent tous les aptitudes exceptionnelles de ce cheval. Ses qualités de mobilité et de légèreté couplée de puissance l’ont rapidement fait choisir par les nobles, les rois et les empereurs.

Le Renouveau

De nos jours le combat de taureaux à cheval, si l’on on fait abstraction de la violence qui lui est propre, montre de manière éclatante la pureté des qualités du cheval Lusitanien pour l’art équestre de la Haute Ecole.

Les récentes performances sur les carrés de dressage mondiaux expriment à nouveau le potentiel immense de ce cheval remarquable.

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